Zeyneb Farhat, ATFD.
(Photo: Isart)

Une jeune femme a accusé deux policiers de la violer à Tunis la nuit du 3 au 4 septembre. Mais le mercredi 26, cette femme et son fiancé ont été convoqué par un juge d’instruction pour « outrage public à la pudeur ». Plusieurs ONG, dont l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD) et la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH), ont dénoncé « une procédure qui transforme la victime en accusée ».

Le Premier de Togo,
Ahoomey-Zunu, à la cérémonie
d’ouverture de l’atelier.
(Photo : Secrétariat du DSRP)

Depuis la première décennie du 21e siècle, la Banque mondiale et le FMI ont encouragé les documents stratégiques de réduction de la pauvreté (DSRP) comme une méthodologie nouvelle, meilleure que leurs controversés plans d'ajustement structurel. Mais, malgré le changement de nom, les institutions de Bretton Woods considèrent encore que la croissance économique est une étape incontournable dans la lutte contre la pauvreté, avec une petite mention à la répartition des richesses. Le Togo en est un exemple. Samir Abi, président de l’organisation non-gouvernementale Visions Solidaires, a analysé le récemment terminé deuxième processus de validation du DSRP togolais.

Ziad Abdel Samad, ANND.
(Photo: ONU)

Les organisations de la société civile arabes ont averti que l’approche « plus pour plus » de l'Union européenne (UE) et le modèle économique qu'elle promeut sont incompatibles avec les voies nationales vers la démocratie et les politiques sociales et économiques que la région propose.

« Le sommet de Rio+20 s’est conclu, sans saveur et dénué d’engagements concrets, le 22 juin 2012. Il nous laisse autant sur notre faim qu’il laisse la planète face à des défis inéluctables et l’avenir de l’humanité dans l’incertitude. Rio+20 n’entame pas pour autant notre détermination et notre combativité. Agissons pour que les pistes de travail retenues et les alternatives citoyennes qui ont convergé à Rio, aboutissent à une feuille de route transformatrice, » a déclaré le Collectif Rio+20.

Parlement européen, Bruxelles.
(Photo : Francisco Antunes /
CNCD 11.11.11)

Un nouveau pas vient d’être franchi vers l’adoption d’une loi européenne visant à lutter contre l’opacité au sein des industries extractives, ainsi que d’autres secteurs économiques en proie à la corruption et à l’évasion fiscale. Le 18 septembre, les eurodéputés de la commission des affaires juridiques du Parlement européen ont voté pour l’introduction d’obligations de transparence de la part des multinationales européennes et de celles cotées dans l’UE.

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