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At the High-Level Political Forum which takes place at the United Nations in New York several events, for instance an SDG Business Forum, are devoted to the critical role of business and public-private partnerships (PPPs) in implementing the 2030 Agenda for Sustainable Development.

A new report states that various forms of privatisation and corporate capture have become obstacles to implement the 2030 Agenda and its SDGs but many civil society organisations and trade unions warn in their joint report Spotlight on Sustainable Development 2017 that the various forms of privatisation and corporate capture have become obstacles to implement the 2030 Agenda and its goals.

BONN, Jul 13 2017 (IPS) - At the High-Level Political Forum which currently takes place at the United Nations in New York several events, for instance a SDG Business Forum, are devoted to the critical role of business and public-private partnerships (PPPs) in implementing the 2030 Agenda for Sustainable Development.

Spotlight Report 2017 zeigt, dass Privatisierung und Macht von Unternehmen die Umsetzung der Agenda 2030 beeinträchtigen.

Varios expertos discutieron sobre los beneficios y perjuicios de las alianzas público-privadas en el sector de la ayuda para el desarrollo. Entre ellos, Roberto Bissio, Coordinador de Social Watch.

Gustave Assah.

Les participants à la réunion de stratégie de la société civile sur le suivi et la responsabilisation organisée par Social Watch en février dernier à Montevideo ont été demandés de donner leur opinion sur la façon dont ils travaillent et se rapportent personnellement à l'énorme tâche de rendre les puissants responsables.
Voici ce qu'ils ont dit :

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Le développement durable semble être largement accepté dans le pays. Cependant, il existe toujours des retards intentionnels et de la résistance en la matière. Le changement climatique n’est pas pris en compte adéquatement et les sources d’énergies renouvelables dépendent toujours des subventions gouvernementales et des consommateurs. Par ailleurs, ces subventions sont en passe d’être réduites, en particulier pour l’énergie solaire, alors que la durée de vie des centrales nucléaires est prolongée. De plus, la ligne budgétaire pour la compensation économique attribuée aux pays affectés par le changement climatique a été éliminée du projet de budget 2011. En attendant, le clivage entre riches et pauvres continue à se creuser et les politiques sociales ne sont pas appliquées correctement.
Le changement de gouvernement survenu à la suite des élections de 2009 n’a pas encore agi au bénéfice des pauvres et des autres victimes de la crise financière. On ne détecte aucun changement de stratégie dans le marché du travail ni au niveau des politiques sociales, et l’appauvrissement de larges secteurs de la société se poursuit. D’autre part, les questions environnementales ont joué un rôle très secondaire dans la réponse du Gouvernement à la crise. Selon le Fonds mondial pour la nature, seulement 6 des 32 mesures de relance économique ont eu un impact positif sur l’environnement, et à peine 13 % d’entre elles peuvent être considérées durables.
La stratégie de gestion de la crise du Gouvernement allemand ne comporte pas d’objectifs sociaux ou écologiques. Les plans de mesures de relance et les réductions d’impôt sont socialement injustes, et les licenciements et l’augmentation du nombre de travailleurs à temps partiel montrent le vrai visage de la dérèglementation. Bien que l’Aide Officielle au Développement (AOD) ait augmenté en Allemagne et que les engagements envers les Pays les Moins Avancés (PMA) en 2009 soient plus importants que jamais, ces mesures restent encore insuffisantes. Dans ses déclarations la chancelière A. Merkel a beau promettre d’appliquer une nouvelle approche des relations internationales, dans la pratique on constate que les politiques de gestion de la crise du Gouvernement sont centrées sur le G20.
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