Social Watch Report 2012

Une multitude dans un centre
commercial en Pennsylvanie,
aux États-Unis.
(Foto: David Fulmer/Flickr/CC)

La consommation insoutenable des secteurs sociaux et des pays les plus riches, en plus d’alimenter les indicateurs de production et de commerce, au moyen desquels est mesurée usuellement la prospérité, favorise la prédation des ressources naturelles et la détérioration de l’environnement et n’aide pas à réduire la pauvreté. Le Rapport de Social Watch 2012 approfondit la compréhension de ce phénomène et analyse des propositions pour y mettre des limites concrètes en juin, mois auquel se tiendra la Conférence des Nations Unies sur le Développement durable à Rio de Janeiro (Rio2012).

Social Watch report blames inaction of governments and mal-action of private sector for inequality

Manifestation à Rome contre les
réductions de dépenses sociales.
(Photo: Alessandra Raimondi
/Flickr/Creative Commons))

Comme les gouvernements du monde entier, tous les pays, les industrialisés et ceux en développement, ont réduit leurs dépenses au cours des deux dernières années et préparent leurs économies pour la prochaine, les premières victimes sont les programmes de bien-être social, comme les contributions des organisations de base, incluses dans le  rapport  de Social Watch 2012 le signalent. Mais les mesures d'austérité se sont avérées inutiles pour surmonter la crise et pourraient même faire plonger   le monde dans la  récession, selon un nombre croissant de spécialistes et organismes internationaux.

Installation où on dessale l'eau
à Bahreïn, la nation avec un plus
grand risque de voir totalement
interrompu son approvisionnement.
(Photo : Abe World!/Flickr/
Creative Commons)

La mauvaise utilisation de l'eau épuise cette ressource vitale et déjà faible dans la région arabe, ce qui empêche le développement des pays et fait perdre les espoirs d'une vie meilleure pour la population, selon le Rapport de Social  Watch 2012, qui sera présenté cette semaine à New York.

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